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Tissu antimicrobien : méthodes de test et normes industrielles
L'apprêt antimicrobien est un traitement pratique pour les textiles de protection. Plusieurs méthodes permettent d'évaluer leur efficacité. Cet article présente les méthodes à utiliser. tester les textilesIl étudie les méthodes qualitatives et quantitatives pour évaluer la capacité des tissus à combattre les germes. Il examine également les principaux facteurs qui influencent les résultats des tests sur les textiles antimicrobiens. L'utilisation de procédures appropriées et d'outils de test fiables est essentielle pour obtenir des résultats précis.
Table des matières
- Sélection des micro-organismes d'essai
- Méthodes de test de performance des tissus antimicrobiens
- Méthodes de tests qualitatifs
- Méthode de test semi-quantitative
- Méthodes de tests quantitatifs
- Méthode du flacon agité : rapide mais limitée aux antimicrobiens non lixiviants
- Méthode d'absorption : chronophage mais plus précise et polyvalente
- Méthode d'essai AATCC 100
- Méthode d'essai quantitative JIS L1902-8 (1998)
- Méthode d'essai FZ/T 02021-92
- Méthode d'essai Quinn modifiée
- Méthode d'essai ASTM E2149–2001
- GB/T 20944.2-2007 Textiles — Test de l'activité antibactérienne : Partie 2 Méthode d'absorption
- Facteurs clés influençant les méthodes de test antibactérien pour les textiles
Sélection des micro-organismes d'essai
Les souches microbiennes utilisées pour tester l'efficacité antimicrobienne des textiles comprennent les bactéries et les champignons. Concernant les bactéries, nous privilégions les souches Gram-positives et Gram-négatives. Les champignons, les moisissures et les dermatophytes sont les choix habituels. Pour vérifier l'efficacité antimicrobienne des échantillons textiles, choisissez des micro-organismes pertinents et représentatifs. Les souches du tableau 1 sont courantes dans la nature. On les retrouve sur la peau et les muqueuses humaines, ce qui les rend idéales pour tester les tissus antimicrobiens. Pour obtenir des résultats précis, choisissez les organismes de test appropriés. Il est également important d'utiliser des outils de test textiles standardisés.
Microorganismes représentatifs utilisés dans les tests textiles
Staphylococcus aureus est une bactérie très résistante qui ne forme pas de spores. C'est une souche Gram positive couramment utilisée dans les tests textiles. Les chercheurs reconnaissent Bacillus subtilis pour sa forte résistance due à la formation de spores. Il sert souvent d'exemple de bactérie sporulée. Bacillus megaterium est un pathogène sporulé. Il est fréquemment utilisé par les chercheurs dans les tests textiles.
Escherichia coli est une bactérie Gram négative présente dans divers environnements naturels. Elle est couramment utilisée dans de nombreux protocoles d'essais textiles. La norme chinoise (GB2423.16-81) répertorie des champignons comme Aspergillus flavus et Chaetomium globosum pour les tests de résistance aux moisissures. Ces champignons sont souvent utilisés pour reproduire une exposition réelle aux moisissures sur les textiles et les polymères.
Candida albicans est une levure susceptible de provoquer des infections. Elle se trouve généralement sur la peau et les muqueuses humaines. Elle est souvent utilisée dans les tests antimicrobiens sur textiles. En effet, elle réagit bien aux médicaments et sa forme de colonie, semblable à celle des bactéries, facilite son comptage et son observation lors des tests. Ses caractéristiques fongiques particulières et son comportement en colonies en font un choix judicieux pour les tests standards utilisant des outils textiles modernes.
Tests antimicrobiens à large spectre sur les textiles
Pour vérifier l'efficacité d'un tissu antimicrobien contre de nombreux germes, utilisez un mélange de microbes. Cette culture doit contenir des souches spécifiques en quantités déterminées. Actuellement, les chercheurs testent de nombreux produits antimicrobiens avec trois organismes standard : Staphylococcus aureus (Gram positif), Escherichia coli (Gram négatif) et Candida albicans (champignons). Cette méthode donne un aperçu, mais ne révèle pas complètement comment les textiles combattent les microbes en conditions réelles.
Lors des tests textiles avec des champignons, le comptage des unités formant colonie peut s'avérer difficile. Ceci est dû au mode de croissance des champignons. Nous vérifions souvent l'efficacité antifongique en mesurant la croissance fongique sur l'échantillon textile. Cette mesure est effectuée après que l'échantillon a été conservé à une température et une humidité contrôlées. L'évaluation utilise un système de notation conforme à la norme britannique BS6085-81. Ce système permet d'évaluer la résistance fongique. Des procédures cohérentes sont essentielles pour obtenir des résultats fiables. Des outils de test textile avancés sont également nécessaires. Ces outils reproduisent les conditions environnementales et suivent avec précision l'activité microbienne à la surface des tissus.
Performance du tissu antimicrobien Méthodes de test
Nous vérifions la façon dont les tissus combattent les germes grâce à trois tests : qualitatif, semi-quantitatif et quantitatif. Chaque méthode est importante pour vérifier l'efficacité des traitements antimicrobiens sur les textiles. Leur précision et leur utilisation diffèrent.
Méthodes de tests qualitatifs
- Les méthodes de test textile qualitatif comprennent :
- Méthode de test AATCC 90 (test Halo)
- JIS Z2911-1981 (Test antimicrobien)
- AATCC 30 (Évaluation de la résistance aux antifongiques et à la pourriture)
- GB/T 20944.1-2007 (Textiles — Méthode de diffusion sur gélose pour l'activité antibactérienne)
Les méthodes de test des textiles consistent généralement à déposer des organismes sur le tissu. Une inspection visuelle est ensuite effectuée pour détecter la croissance microbienne. Cette évaluation vérifie la migration des agents antimicrobiens du tissu vers la gélose. Cette méthode est idéale pour les finitions lessivables. Cependant, elle ne convient pas aux traitements durables et résistants au lavage.
Les avantages incluent un faible coût et des résultats rapides. Les méthodes qualitatives ne permettent pas de mesurer précisément l'activité antimicrobienne. Par conséquent, les résultats manquent de précision. Pour obtenir des résultats précis et homogènes lors du développement de produits ou du contrôle qualité, des outils de test textile avancés sont souvent nécessaires. Les chercheurs les utilisent pour des tests de suivi qui s'appuient sur des méthodes quantitatives.
Méthode de test AATCC 90
Le test AATCC 90 est un test textile rapide. Il est principalement utilisé pour évaluer l'efficacité des agents antimicrobiens. Le processus commence par l'ajout de bactéries test à un milieu gélosé. Ensuite, l'échantillon de tissu est placé directement sur la surface. Après incubation à 37 °C pendant 24 heures, la croissance microbienne est vérifiée. À l'aide d'une loupe, on observe la taille de la zone d'inhibition autour du tissu. Les résultats sont ensuite comparés à ceux d'un échantillon témoin.
Cette méthode est simple, rapide et permet de traiter plusieurs échantillons simultanément. Elle présente cependant des limites. La durée d'incubation est définie, mais la concentration de l'inoculum bactérien n'est pas clairement établie. Cela peut entraîner des résultats incohérents. La taille de la zone d'inhibition indique la capacité de propagation de l'agent et son efficacité contre les microbes. Elle est utile pour comparer le produit à un tissu de référence. Cependant, ce n'est pas un moyen fiable de mesurer quantitativement l'activité antimicrobienne. Les experts recommandent d'utiliser des outils de test textile supplémentaires et des méthodes mesurables pour de meilleures évaluations.
Méthode de pulvérisation AATCC 90
La méthode de pulvérisation AATCC 90 est une version modifiée du test textile AATCC 90 original. Après incubation, une quantité déterminée de réactif TNT est pulvérisée sur l'échantillon de tissu. Nous vérifions ensuite l'efficacité de l'antimicrobien en observant la croissance bactérienne sur l'échantillon.
Le changement de couleur est dû à une réaction biochimique. La succinate déshydrogénase des bactéries testées réduit le réactif TNT. Cela entraîne la formation d'un pigment rouge insoluble. Ce changement de couleur indique l'activité des bactéries et nous permet également d'évaluer l'efficacité de l'échantillon contre les germes.
Cette méthode de test textile présente un avantage majeur : elle permet de détecter la croissance bactérienne, même en l'absence de zone d'inhibition visible autour de l'échantillon. L'activité bactérienne à la surface de la gélose provoque une coloration rouge. Ce changement permet d'évaluer l'efficacité de l'antimicrobien. Sa conception visuelle claire facilite son utilisation. C'est donc un outil de dépistage utile. Vous pouvez l'utiliser avec d'autres appareils de test textile pour une meilleure analyse.
Méthode colorimétrique AATCC 90
La méthode colorimétrique AATCC 90 s'appuie sur le test textile original AATCC 90. Elle offre une méthode semi-quantitative d'évaluation de la couleur. Après incubation, les bactéries sont éliminées de l'échantillon textile par lavage. Une certaine quantité de réactif TNT est ensuite ajoutée à la suspension bactérienne pour déclencher la réaction colorée. Après 15 minutes, un spectrophotomètre mesure l'absorbance à 525 nm. Cette valeur d'absorbance est corrélée au nombre de bactéries viables présentes.
Cette méthode permet de mieux mesurer l'efficacité antimicrobienne que les observations visuelles. Elle ne fonctionne pas pour les organismes qui ne produisent pas de succinate déshydrogénase. Le réactif TNT a besoin de cette enzyme pour la réaction colorée.
Pour des résultats précis et reproductibles, notamment lors des mesures, cette méthode nécessite un contrôle précis. Des outils de test textile fiables, comme des spectrophotomètres étalonnés, sont essentiels dans les laboratoires d'essais.
Méthode de test antifongique JIS Z2911
La méthode JIS Z2911 évalue la résistance des textiles aux moisissures. C'est l'une des premières méthodes normalisées pour mesurer les propriétés antifongiques. Le principe principal consiste à pulvériser uniformément une solution de spores mélangées sur l'échantillon de tissu et le milieu de culture. Les échantillons sont incubés dans des conditions contrôlées. La croissance des moisissures est contrôlée à intervalles réguliers pendant la durée définie.
La quantité de moisissures qui se développe détermine l'efficacité antifongique du textile. Cette méthode offre un moyen clair de tester la résistance fongique des textiles. Elle se concentre sur les matériaux que les chercheurs utiliseront dans des zones humides et propices aux microbes.
Pour garantir la précision et la répétabilité, utilisez des méthodes cohérentes et des outils de test textiles spécifiques. Ceci est important, notamment pour vérifier les finitions ou revêtements résistants.
Méthode de test AATCC 30
Les chercheurs utilisent le test AATCC 30 pour vérifier la résistance des matériaux textiles à la moisissure et à la pourriture. Ce test détermine l'efficacité des biocides pour prévenir la croissance fongique et la dégradation des matériaux.
La méthode comporte plusieurs approches :
- Méthode d'enfouissement du sol
- Méthode de la plaque d'agar
- Méthode du bocal à humidité
La méthode d'enfouissement consiste à placer des échantillons de tissu de certaines tailles dans le sol pendant une durée déterminée. Ensuite, nous mesurons leur résistance à la rupture. La perte de résistance à la rupture indique la résistance du matériau aux attaques fongiques.
La méthode de la gélose évalue la résistance des textiles à la croissance fongique. Cette méthode consiste à prendre une gélose contenant du milieu de culture, puis à l'inoculer avec une suspension aqueuse de spores d'Aspergillus. Des disques de tissu imprégnés d'un agent mouillant non ionique sont ensuite déposés sur la gélose. Ils sont également imprégnés de la suspension de spores. Après incubation à une température spécifique, on vérifie la quantité de moisissures présente sur le tissu. On l'évalue en observant la surface recouverte par le champignon.
La méthode du bocal d'humidité utilise des bandes de tissu traité. Ces bandes sont suspendues dans un bocal à large ouverture. Ce bocal contient une quantité déterminée d'eau mélangée à une concentration spécifique de spores fongiques. Le mélange maintient l'ensemble à une température donnée. Ensuite, nous vérifions la présence de moisissures sur les bandes de tissu et la surface couverte par ces moisissures.
GB/T 20944.1-2007 – Textiles : Évaluation de l’activité antibactérienne, Partie 1 : Méthode de diffusion sur plaque d’agar
Cette norme constitue la toute nouvelle méthode pour tester la résistance bactérienne des textiles. Versez deux couches de milieu gélosé dans une boîte de Pétri. Ajoutez d'abord une couche de base stérile, puis une couche supérieure inoculée. Un échantillon de tissu est ensuite déposé sur les deux couches.
Après une période d'incubation déterminée, nous vérifions l'efficacité du textile contre les bactéries en observant la croissance bactérienne au contact de l'échantillon avec le milieu gélosé.
Méthode de test semi-quantitative
La méthode des stries parallèles est un test semi-quantitatif populaire. Elle permet de vérifier la résistance des textiles aux bactéries. Cette méthode permet de tester rapidement et facilement la capacité des tissus bien traités à combattre les germes. Elle est idéale pour les textiles contenant des agents antimicrobiens diffusibles. Elle constitue une alternative plus simple au test AATCC 100, plus complexe.
La méthode d'essai AATCC 147 est une méthode standard pour évaluer les finitions antimicrobiennes des textiles. Les chercheurs la connaissent comme une méthode semi-quantitative pour les tests textiles. Cette procédure consiste à prélever un volume spécifique d'une suspension bactérienne, généralement contenant des spores de Staphylococcus aureus. Ensuite, nous l'ensemençons sur une plaque de gélose nutritive en réalisant cinq stries parallèles. L'échantillon de tissu est placé perpendiculairement aux stries. Pressez-le doucement pour assurer un contact étroit avec la surface de la gélose. Après incubation, nous mesurons l'activité antimicrobienne du textile en vérifiant la largeur des zones d'inhibition autour des stries qui touchent le tissu.
Ce test textile est efficace et fiable. Il est idéal pour le contrôle qualité et le développement de tissus antimicrobiens.
Méthodes de tests quantitatifs
Méthode du flacon agité : rapide mais limitée aux antimicrobiens non lixiviants
À l’heure actuelle, la méthode du flacon agité et la méthode d’absorption sont les principales méthodes pour tester la résistance des textiles aux bactéries.
La méthode du flacon agité consiste à placer un échantillon de textile dans une suspension bactérienne. Le mélange est ensuite agité. Cela assure un bon contact entre l'agent antimicrobien du tissu et les micro-organismes. L'évolution du nombre de bactéries viables avant et après agitation témoigne de l'efficacité antibactérienne du produit.
Méthode d'absorption : chronophage mais plus précise et polyvalente
La méthode d'absorption nécessite un volume défini de suspension bactérienne. Ceci s'applique à l'échantillon contenant des agents antimicrobiens et au témoin non traité. Après incubation, rincer les deux échantillons avec la solution d'élution. Compter les bactéries viables dans l'éluant. Vérifier ensuite l'activité antimicrobienne. Observer l'évolution du nombre de bactéries avant et après incubation.
La méthode du flacon agité n'est pas simple. Elle fonctionne principalement avec des tissus antimicrobiens non lixiviants. La méthode d'absorption est plus longue. Cependant, elle est efficace aussi bien pour les textiles antimicrobiens lixiviants que non lixiviants. De plus, ses conditions d'essai reproduisent fidèlement l'usure réelle. C'est donc la méthode la plus précise actuellement disponible pour tester les textiles.
Les experts affirment que la méthode d’absorption sera cruciale pour les futurs tests textiles.
Les normes courantes pour les tests quantitatifs comprennent :
- Méthode d'essai AATCC 100 (évaluation quantitative de la réduction bactérienne)
- JIS L1902-8:1998 (méthode d'essai quantitative)
- FZ / T 02021-92
- Test de Quinn modifié
- ASTM E2149-2001 (Méthode d'essai dynamique pour l'activité antimicrobienne des agents immobilisés)
- GB/T 20944.2-2007 (Évaluation de l'activité antibactérienne des tissus, Partie 2 : Méthode d'absorption)
Le principal avantage des outils de tests textiles quantitatifs réside dans leur précision. Ils sont également objectifs et reproductibles. Cependant, ils nécessitent plus de temps et de coûts que les approches qualitatives.
Dans cette section, nous détaillerons plusieurs méthodes courantes de tests textiles quantitatifs.
Méthode d'essai AATCC 100
AATCC 100 : une norme classique pour les tests de textiles antibactériens
L'AATCC (Association américaine des chimistes et coloristes du textile) a créé la méthode d'essai 100 en 1961. Elle a été révisée en 1965 et 1981. Aujourd'hui, c'est une norme essentielle pour tester la résistance des tissus aux bactéries. Elle permet d'évaluer quantitativement l'efficacité bactériostatique et bactéricide des textiles antimicrobiens.
Les bactéries se propagent à la fois sur le tissu traité (test) et sur le tissu non traité (témoin). Après un temps d'incubation déterminé, nous ajoutons une solution neutralisante. Ensuite, nous agitons vigoureusement les échantillons pour éliminer les bactéries viables restantes. Nous mesurons le nombre de bactéries dans l'éluant par numération sur plaque. Nous calculons ensuite le pourcentage de réduction en comparant ce nombre à celui de l'échantillon témoin.
Limites de la méthode originale :
- Nombre limité d'échantillons par test
- Procédure longue
- Ne convient pas à l'évaluation des tissus antimicrobiens non lixiviants
- Manque de spécificité dans la composition de la solution neutralisante
- La suspension bactérienne riche en nutriments peut ne pas refléter les conditions d'usure réelles
- Les grands conteneurs de test rendent la manipulation difficile
AATCC 100 amélioré : plus efficace et adapté aux tissus antimicrobiens modernes
Des chercheurs ont créé une version améliorée de l'AATCC 100. Ils ont utilisé les résultats d'essais réalisés en France et à l'étranger pour l'améliorer. Cette nouvelle méthode constitue un cadre d'essai textile robuste. Elle permet d'évaluer de nombreux types de tissus antimicrobiens.
Les principales modifications comprennent :
- Réduction de la taille de l'échantillon de tissu d'un cercle de 4.8 cm de diamètre à un carré d'environ 1.8 cm
- Utilisation de fioles coniques de 30 ml ou 50 ml avec bouchon
- Remplacement du bouillon AATCC par une solution saline physiologique froide à 0.85 % (0–4 °C) pour la suspension bactérienne
- Diluer l'inoculum bactérien de ~10⁸–10⁹ UFC/mL à 1×10⁵–2×10⁵ UFC/mL
- Utiliser 20 ml de solution saline froide à 0.85 % comme rinçage neutralisant
Les chercheurs calculent l’efficacité antibactérienne comme suit :
Cette méthode améliorée fonctionne aussi bien pour les tissus antimicrobiens lixiviables que non lixiviables. Ses conditions nutritives correspondent mieux à celles rencontrées lors de l'utilisation réelle du tissu. Elle offre une méthode fiable et pratique pour les tests textiles modernes. De plus en plus de laboratoires du monde entier l'utilisent dans leurs protocoles de test.
Méthode d'essai quantitative JIS L1902-8 (1998)
Des chercheurs japonais ont amélioré la méthode d'essai AATCC 100. Ils ont créé de nouvelles méthodes pour compter les bactéries, tester leur croissance et utiliser des plaques d'agar. Ils ont également modifié les tests d'inhibition bactérienne et amélioré l'AATCC 100. Le Comité japonais des normes industrielles a mis à jour la norme JIS L1902-1990. Il a également créé la nouvelle norme JIS L1902-1998 pour tester les textiles antimicrobiens. Cette méthode offre une méthode claire et uniforme pour évaluer la résistance des tissus aux bactéries au Japon. Elle soutient également l'effort mondial visant à créer des normes fiables pour les tests textiles.
Méthode d'essai FZ/T 02021-92
La norme FZ/T 02021-92 est une directive de l'industrie textile chinoise. Elle explique comment tester la performance antibactérienne des tissus. Placer le tissu d'essai et le tissu témoin dans des fioles coniques séparées. Utiliser deux fioles pour les échantillons d'essai et une pour le témoin. Ajouter d'abord la solution bactérienne indicatrice. Nettoyer ensuite les échantillons de contrôle et de test à zéro heure avec un tampon. Mesurer ensuite le nombre de bactéries. Le technicien incube les échantillons d'essai à la température appropriée pendant 20 heures. Les chercheurs les lavent ensuite avec la solution tampon. Enfin, ils mesurent le nombre de bactéries. Calculer le pourcentage de réduction bactérienne en comparant les valeurs avant et après incubation.
Cette méthode s'inscrit dans le cadre de l'engagement de la Chine en faveur de normes élevées en matière de tests textiles. Elle vérifie l'efficacité des matériaux textiles contre les bactéries dans diverses utilisations. Elle démontre aux fabricants et aux chercheurs l'efficacité des traitements antimicrobiens sur les tissus.
Méthode d'essai Quinn modifiée
Principe : Cette méthode utilise une quantité déterminée de suspension bactérienne sur le tissu d'essai. Ainsi, les bactéries entrent pleinement en contact avec la surface du textile. Après le temps d'exposition défini, un milieu nutritif est ajouté à l'échantillon. Cela permet aux bactéries survivantes de se développer. Nous vérifions l'efficacité du tissu pour tuer les bactéries en mesurant la baisse du nombre de bactéries vivantes. Les colonies bactériennes (UFC) sont comptées à l'aide d'une loupe. Cette méthode est simple et efficace pour tester l'efficacité d'un tissu à bloquer la croissance microbienne après contact.
Méthode d'essai ASTM E2149–2001
La méthode ASTM E2149-2001 est un test en flacon agité. Simple et facile à utiliser, surtout comparée aux méthodes par absorption, cette technique utilise une suspension bactérienne. L'échantillon de tissu est immergé dans la suspension et agité doucement pour maintenir le contact. Elle est idéale pour les textiles antimicrobiens, qu'ils soient non lixiviables ou non. De plus, elle n'est pas limitée par la quantité d'eau absorbée par le matériau. Elle peut être utilisée avec différents types de textiles, notamment les poudres, les plumes de duvet, les tissus irréguliers et les échantillons de formes irrégulières.
Cette méthode fonctionne avec les tissus. Elle s'applique également aux poudres, aux granulés et aux matériaux solides traités. Son champ d'application étendu et sa simplicité d'utilisation en font un choix idéal pour tester la performance antimicrobienne avec des outils textiles standard.
GB/T 20944.2-2007 Textiles — Test de l'activité antibactérienne : Partie 2 Méthode d'absorption
Cette norme nationale présente la nouvelle méthode chinoise de test de la résistance bactérienne des textiles. Le principe du test est simple : l’échantillon d’essai est d’abord inoculé, puis l’échantillon témoin est également inoculé avec une suspension bactérienne. Deux procédures sont réalisées : la première est éluée immédiatement après l’inoculation, la seconde après incubation dans des conditions spécifiques. Le nombre de bactéries viables dans les solutions éluées est mesuré. La valeur antibactérienne, ou taux d’inhibition, est ensuite calculée. Cela permet d’évaluer l’efficacité du textile contre les bactéries.
Cette méthode est très précise. Elle fonctionne aussi bien avec les textiles antimicrobiens lixiviables qu'avec ceux non lixiviables. C'est donc un choix fiable pour tester les textiles intelligents.
Facteurs clés influençant les méthodes de test antibactérien pour les textiles
Cette section décrit deux principales méthodes de test : la méthode du flacon agité et la méthode d’absorption.
Facteurs clés affectant les résultats des tests de flacon agité
La précision et la fiabilité de la méthode du flacon agité dépendent de quelques facteurs clés.
Les facteurs clés sont :
- Souches bactériennes
- Agents de lavage
- Étapes de lavage
- Paramètres de test
Les critères permettant de mesurer l’efficacité de l’agent antibactérien.
Tester les souches bactériennes
Les micro-organismes d'une même espèce peuvent avoir des origines différentes. Ces différences peuvent affecter leur sensibilité au textile traité antimicrobien. Par conséquent, les valeurs antibactériennes peuvent varier. Par conséquent, nous recommandons l'utilisation de souches bactériennes standard pour garantir une homogénéité.
La croissance bactérienne suit un schéma commun.
Il comporte quatre phases :
- Phase de latence
- Phase de croissance logarithmique (exponentielle)
- État stationnaire
- Phase de déclin
La durée de chaque phase varie selon l'espèce bactérienne. Par exemple, Staphylococcus aureus est une souche souvent utilisée dans les tests antibactériens sur textiles. Sa multiplication est beaucoup plus lente qu'Escherichia coli ou Klebsiella pneumoniae. Les résultats peuvent varier selon le stade de croissance des bactéries. Leur activité métabolique change à chaque phase.
Détergents et méthodes de lavage
Un prélavage de l'échantillon avant le test est généralement nécessaire, sauf si le textile est jetable ou ne nécessite pas de lavage. Cette étape a deux fonctions : elle élimine la poussière et la saleté du tissu et élimine les agents antimicrobiens superflus.
Le type de détergent et son efficacité de rinçage peuvent avoir un impact majeur sur les résultats des tests. Il est donc nécessaire de normaliser la procédure de lavage et la formulation du détergent. Sans cette normalisation, les résultats des différents organismes de test risquent de ne pas être comparables.
Paramètres de test
La température est un facteur critique influençant la croissance microbienne. À basse température, la croissance bactérienne cesse. À mesure que la température augmente, les réactions chimiques et enzymatiques bactériennes s'accélèrent, ce qui accélère la croissance bactérienne. La plupart des bactéries testées dans ces tests sont mésophiles. Leur croissance est optimale à environ 37 °C.
La reproduction bactérienne est très sensible aux variations de température. Le contrôle de la température est donc essentiel pour les tests de tissus antimicrobiens. La seule norme affichant une température d'incubation de (24 ± 1) °C est celle des « tissus tricotés antibactériens ». Toutes les autres normes utilisent 37 °C.
Les chercheurs devraient normaliser les températures d’incubation pour garantir la comparabilité entre les méthodes de test.
D'autres paramètres de test peuvent modifier les résultats. Parmi les facteurs clés, on peut citer :
- Concentration bactérienne
- Viabilité bactérienne
- Disponibilité des nutriments
- Temps de contact avec les bactéries
- Méthode d'incubation
- Durée d'incubation
L’établissement de paramètres de test uniformes améliore à la fois la répétabilité intra-laboratoire et la comparabilité inter-laboratoire.
Détermination de l'efficacité antibactérienne
Actuellement, l'efficacité antibactérienne est généralement exprimée en pourcentage ou en valeur de réduction logarithmique. Les pourcentages sont faciles à comprendre. Cependant, ils omettent souvent des différences clés dans la performance antibactérienne. Par exemple : 90 %, 99 %, 99.9 %, 99.99 %, 99.999 %. Chaque 9 supplémentaire après la virgule correspond à une multiplication par dix, même si les chiffres semblent proches. De plus, les rapports de test arrondissent souvent les valeurs à une décimale, ce qui rend les différences plus difficiles à discerner.
Les bactéries se reproduisant de manière exponentielle, la représentation en pourcentage n'est pas toujours scientifiquement pertinente. Les valeurs de réduction logarithmique (comme 1, 2, 3, 4, 5) montrent des différences nettes dans l'efficacité antibactérienne. Cependant, les non-experts peuvent avoir du mal à les comprendre.
Nous devons penser à l'environnement et à la sécurité. Il ne faut donc pas se contenter d'un taux antibactérien très élevé. La plupart des textiles antibactériens sont en contact avec la peau et sont lavés fréquemment. Il est donc essentiel de garantir leur sécurité et leur durabilité.
La norme taïwanaise CNS 14945 examine l'efficacité des textiles contre les bactéries. Les candidats doivent soumettre des rapports de sécurité et de toxicité. Ce n'est qu'à cette condition qu'ils peuvent tester la performance antimicrobienne des tissus. Ces rapports comprennent :
- Un rapport de test d'irritation cutanée (pH < 2) et un test d'allergénicité sans réaction allergique chez les animaux.
- Un rapport de toxicité aiguë par voie orale pour les additifs comprend un rapport certifié par un laboratoire. Ce rapport ne révèle aucun décès ni problème chez la souris à des doses supérieures à 1,000 XNUMX mg/kg.
- Ou un rapport de test et une déclaration tiers fournis par le fournisseur de matières premières.
Il est possible d'assouplir les règles de sécurité pour les produits que l'on ne lave pas ou que l'on ne touche pas. Il est donc nécessaire d'établir des normes claires de performance antimicrobienne des tissus, en fonction de l'utilisation du produit.
Facteurs clés affectant l'efficacité de la méthode d'absorption
Les résultats des tests par absorption dépendent de facteurs importants. Cela comprend la préparation de la suspension bactérienne, l'échantillon témoin, la pesée de l'échantillon test et la durée d'incubation. Ces éléments jouent un rôle déterminant dans la réussite de l'expérience.
Préparation de suspension bactérienne
La première étape des tests sur tissus antimicrobiens consiste à préparer la suspension bactérienne. Cette étape est cruciale : elle influence directement la croissance bactérienne pendant l'expérience. Deux méthodes principales sont aujourd'hui utilisées. La première est la méthode en deux étapes, conforme à la norme américaine AATCC 100. La seconde est la méthode en trois étapes, basée sur la norme japonaise JIS L 1902.
La méthode en deux étapes implique :
- Utiliser une anse d'inoculation pour ensemencer une culture stockée en stries sur une boîte de gélose nutritive. Incuber ensuite la boîte à 37 °C pendant une durée déterminée.
- Prélevez une colonie typique sur la gélose. Ajoutez-la ensuite à un bouillon nutritif. Incubez ce bouillon à 37 °C pendant une durée déterminée.
- La suspension bactérienne résultante est ensuite diluée à la concentration requise pour les tests.
La méthode en trois étapes ajoute une étape supplémentaire :
Prélever une partie de la suspension bactérienne de la deuxième étape et la placer dans un nouveau bouillon nutritif. Incuber à 37 °C. Une fois la culture terminée, la diluer à la concentration souhaitée.
Importance de la viabilité bactérienne dans les tests de tissus antimicrobiens
Lors des tests de tissus antimicrobiens, il est important d'utiliser des bactéries hautement viables. Cela permet de démontrer l'efficacité des textiles contre les microbes. Nous vérifions la viabilité bactérienne lors des tests en comparant la croissance sur des échantillons témoins avant et après incubation. Si les bactéries se développent bien, elles sont plus viables. En revanche, si leur croissance est limitée, leur activité est moindre.
Méthodes de culture en deux étapes ou en trois étapes
Le tableau 2 présente les données expérimentales des méthodes en deux et trois étapes. Les résultats montrent que la méthode en trois étapes améliore la viabilité bactérienne en suspension. Cela est particulièrement vrai pour Staphylococcus aureus, dont la croissance est généralement progressive. Pour Escherichia coli, généralement très actif, la différence est minime.
Effets spécifiques de la souche sur la viabilité
La méthode en trois étapes réduit le risque d'utilisation de souches faiblement conservées. Elle garantit également de meilleurs résultats, offrant une image plus précise de la performance antimicrobienne des textiles. Elle nécessite toutefois plus de temps et d'efforts que la méthode en deux étapes, car elle comporte trois étapes de culture. Pour les bactéries actives comme E. coli, cette étape supplémentaire peut être superflue. La méthode en deux étapes peut produire des résultats similaires, lorsque la croissance bactérienne dans l'échantillon témoin atteint le taux requis.
Choisissez la bonne méthode en fonction de la souche bactérienne pour une meilleure efficacité.
Échantillon de contrôle
Le choix de l'échantillon témoin est essentiel pour les tests antimicrobiens. En effet, nous comparons la performance antimicrobienne à celle du témoin. La croissance bactérienne dans l'échantillon témoin influence l'évaluation antimicrobienne finale. Certaines méthodes utilisent le même tissu que l'échantillon d'essai, mais sans agent antimicrobien. Cet échantillon sert de témoin. Cette méthode est principalement destinée aux fabricants. Elle est efficace pour les essais d'optimisation des procédés. Cependant, elle n'est pas pratique pour les tests commerciaux. Les entreprises ne peuvent souvent pas fournir d'échantillons témoins correspondants lors de leur soumission.
Pour faciliter les expériences et la comparaison des résultats, nous devons choisir un échantillon témoin compatible avec la plupart des textiles testés. Les textiles antimicrobiens sont généralement des articles comme les chaussettes et les sous-vêtements. Ils sont conçus pour épouser parfaitement la peau. C'est pourquoi le tissu de support en coton de la norme GB 7565-287 a été choisi comme échantillon témoin pour les tests de résistance des couleurs.
Des tests préliminaires sur le support en coton non lavé ont donné des résultats étranges. Après 19 heures d'incubation, les numérations bactériennes obtenues à partir de la dilution 10 fois étaient surprenantes. Cela suggère des erreurs dans les mesures de concentration bactérienne.
Montant de l'échantillon
La quantité d'échantillon utilisée a un impact significatif sur les résultats du test. En effet, le lavage élimine les bactéries vivantes du tissu. Il peut également éliminer les agents antimicrobiens présents sur le tissu. Plus la quantité de tissu est importante, plus la solution de lavage contient d'agents antimicrobiens. Ces agents peuvent empêcher la prolifération des bactéries dans le liquide de lavage, ce qui contribue à réduire le nombre de bactéries vivantes.
Des échantillons de test plus grands peuvent présenter une numération bactérienne plus faible. L'effet antimicrobien semble alors plus fort. Cependant, cela ne reflète pas la performance réelle du tissu. Il est donc crucial de standardiser la quantité d'échantillons. Cela garantira des résultats fiables et cohérents lors des tests antimicrobiens.
Durée d'incubation
Le temps d'incubation est le temps nécessaire aux bactéries pour se développer et se reproduire. Dans des conditions normales, ce temps se produit jusqu'à ce que le nombre de cellules vivantes atteigne son maximum. Les experts considèrent théoriquement que dix-huit heures constituent la durée optimale. Les méthodes standard actuelles diffèrent légèrement sur ce point. Certaines préconisent 18 à 24 heures, tandis que d'autres précisent 18 ± 1 heure ou 20 ± 2 heures. Néanmoins, elles se situent toutes dans la fourchette générale de 18 à 24 heures.
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